C’est le pire délit pour les juifs ultra-orthodoxes d’Israël et pourtant, depuis le début de la pandémie de Covid-19, beaucoup de haredim ont quitté leur communauté pour adopter un mode de vie laïque. Avec le confinement, la routine des ultra-orthodoxes a été totalement perturbée: les établissements d’enseignement religieux et les lieux de culte ont dû fermer leurs portes, les cérémonies ont été annulées et la surveillance sociale omniprésente des membres de la communauté a été mise à mal.
Certains ont donc profité de cette liberté inédite pour découvrir de nouvelles choses et remettre en question leur éducation juive ultra-orthodoxe.
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