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Vanini

L'inquisition arracha la langue de ce grand penseur athée et le brula vif avec ses livres

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Lucilio Vanini, dit Pomponio Uciglio, fut convaincu de blasphème, impiété, athéisme, sorcellerie et corruption de mœurs

 

Vanini, un théologien en Sicile se trouvait déjà jeune en contradiction avec le dogme du Fils de Dieu et de la Sainte Trinité. Il fût obligé de fuir l’Italie. En France il publia deux livres en faveur du respect en face de la nature et du principe matériel. Pour cela l’inquisition lui arracha la langue et le brula vif ensemble avec ses livres, sur la place du Salin à Toulouse. C’est ainsi que l’église catholique effaçait la résistance philosophique à un dogme qui tourne la réalité à l’envers.
Vanini est du nombre des hommes peu connus, qui ont permis la naissance de l’esprit scientifique, opposé au dogmatisme et à la pensée stochastique. Comme Giordano Bruno, il a payé de sa vie sa liberté de penser. En la période actuelle où, les dogmatismes de tous ordres reviennent en force, la lecture de son œuvre est un souffle frais d’intelligence et de liberté, sur un monde qui semble les fuir.
livre morire allegremente da philosofi

« Morire allegramente da filosofi »

(Publication Facebook:)

Mourir joyeusement de philosophie (Traduction de la publication Facebook)

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Traduction de la publication Facebook en italien de Laureto Rodoni:

Voici la « Préface » de Domenico M. Fazio (Université de Salento) au volume anthologique de Mario Carparelli :

« Lorsque, le 9 février 1619, Giulio Cesare Vanini fut conduit au bûcher pour être exécuté comme « athée et blasphémateur du nom de Dieu », il aurait prononcé la phrase qui donne son titre à ce beau livre de Mario Carparelli : « Allons, allons joyeusement mourir en philosophe ». » Parce que Vanini était précisément l’un de ces rares philosophes, comme Socrate et Bruno, capables d’affronter la mort sans renier ses propres idées. Et, comme l’a écrit Schopenhauer quelque deux siècles plus tard, « il était certainement plus facile de brûler Vanini que de le réfuter ; c’est pourquoi, après lui avoir coupé la langue, on a préféré le condamner à mort sur le bûcher ».

Mais qu’est-ce que Vanini avait théorisé de si choquant et de si inacceptable pour la religion révélée et le pouvoir établi, pour mériter une torture aussi atroce ? Ses ouvrages qui nous sont parvenus, l' »Amphitheatrum aeternae providentiae », imprimé à Lyon en 1615, et les dialogues « De admirandis naturae arcanis », publiés à Paris en 1616, avaient tous deux obtenu l’imprimatur préventif des censeurs, qui les avaient interprétés comme deux ouvrages apologétiques de la religion catholique. L’un des censeurs de Lyon avait déclaré que dans l' »Amphitheatrum » « aucune thèse étrangère à la foi catholique et romaine n’est développée, mais il y est contenu des arguments aigus, selon la sainte doctrine des plus excellents maîtres en Théologie sacrée (et à quoi bon) ».

Les censeurs très expérimentés de la faculté suprême de théologie de la Sorbonne, qui avaient examiné les dialogues du « De admirandis », avaient écrit qu’ils n’y avaient « rien trouvé d’hostile ou de contraire à la religion catholique apostolique romaine » et avaient même recommandé « de les donner à la presse car ils sont très subtils et dignes d’intérêt ». Sauf qu’ils se sont empressés de condamner le livre à peine un mois après sa publication, peut-être mis en garde par son « succès de scandale » immédiat.

Comment Vanini avait-il réussi à tromper ses censeurs ? Il y est parvenu en adoptant toute une série de stratagèmes, qui peuvent se résumer en un mot : il y est parvenu, c’est-à-dire grâce à l’ambiguïté de ces textes. « L’ambiguïté, comme l’a écrit l’un de ses plus grands spécialistes contemporains, circule, pourrait-on dire, à travers les pages de Vanini, magistralement pliée aux besoins mimétiques de la pensée de l’auteur. »

Vanini, en effet, pour échapper aux mailles rigides de la censure, cachait ses véritables opinions sous le copieux farrago de l’érudition scolastique, prétendait vouloir démasquer les athées que, nombreux et pernicieux, il disait avoir rencontrés au cours de ses pérégrinations en Europe, il prétendait vouloir réfuter les anciens philosophes païens, il intervertissait continuellement les rôles des deux personnages dans le dialogue « De admirandis », de manière à rendre plus difficile de comprendre avec lequel des deux il s’identifiait, il proposait ses thèses comme celles qu’il montrait vouloir combattre et les contrait avec des arguments faibles et superficiels. Vanini les utilise d’une part pour brouiller davantage les pistes, et d’autre part il les plie aux besoins d’une nouvelle pensée et d’une nouvelle doctrine, les utilisant presque comme de vieux matériaux de construction que l’on réutilise pour construire un nouvel édifice, un nouvel amphithéâtre. Enfin, Vanini recourt à l’argument averroïste de la « double vérité », assurant à chaque fois son humble soumission à l’autorité doctrinale de l’Église catholique : « Car si par hasard (ce que nous ne pouvons cependant pas croire) il y a des choses qui, même dans la moindre partie, semblent être contraires aux instituts, décrets et dogmes de l’Église de Rome, nous désirons qu’elles ne soient pas prises en compte et qu’elles soient considérées comme non dites ou non écrites.

Ces stratégies de protection ont permis à Vanini de faire ce que les autres libertins de son temps, enfermés dans la prudente dimension érudite d’une recherche privée et secrète, résumée dans la devise  » intus ut libet, foris ut moris est « , n’avaient pas osé faire : il a pu professer publiquement ses doctrines, et ce trait d’audace incontestable l’a distingué de ses contemporains.

Ainsi, dans l' »Amphitheatrum », Vanini, tout en se prétendant apologiste de la providence divine, se moque des preuves de l’existence de Dieu, critique l’idée que la providence gouverne le monde, démontre la fausseté de la croyance aux miracles et retrace même une histoire de l’athéisme, le tout fondé sur la conviction, directement dérivée de Machiavel, que la religion n’est rien d’autre qu’un puissant instrumentum regni et que sa instrumentum regni et que ses fondateurs ne sont que des imposteurs rusés. Et dans « De admirandis », il a dicté une interprétation rigoureusement naturaliste de l’histoire de l’humanité.

Ces stratégies de protection ont permis à Vanini de faire ce que les autres libertins de son temps, enfermés dans la prudente dimension érudite d’une quête privée et secrète, résumée dans la devise  » intus ut libet, foris ut moris est « , n’avaient pas osé faire : il a pu professer publiquement ses doctrines, et ce trait d’audace incontestable l’a distingué de ses contemporains.

Ainsi, dans l' »Amphitheatrum », Vanini se moque des preuves de l’existence de Dieu, critique l’idée que la providence gouverne le monde, démontre la fausseté de la croyance aux miracles et retrace même une histoire de l’athéisme, le tout fondé sur la conviction, directement issue de Machiavel, que la religion n’est rien d’autre qu’un puissant instrumentum regni et que ses fondateurs ne sont que des imposteurs rusés. Et dans « De admirandis », il a dicté une interprétation rigoureusement naturaliste des phénomènes alors considérés comme des manifestations du surnaturel.

Le succès que Vanini obtint dans les milieux libertins parisiens et le scandale qu’il provoqua chez ses adversaires, comme le célèbre Marino Mersenne, qui s’empressa de tenter de le réfuter, montrent que ses contemporains, au-delà de toutes les stratégies de protection, le comprirent très bien, isolant et soulignant sa véritable doctrine, qu’ils interprétèrent dans une perspective strictement athée et naturaliste.

Et c’est la même opération herméneutique que Mario Carparelli a réalisée dans son « Petit catéchisme pour athées ». Il présente modestement son ouvrage comme une simple anthologie des textes de Vanini, enrichie de deux entretiens posthumes. Mais en réalité, il a fait beaucoup plus. En effet, il a isolé certaines des thèses centrales de la pensée de Vanini et les a portées à la lumière du jour, en dissipant tous les écrans de fumée dans lesquels Vanini avait nécessairement dû les cacher, et les a offertes au lecteur dans toute leur clarté. On peut donc dire qu’il a voulu guider le lecteur, afin qu’il puisse se placer au même point de vue que les admirateurs et les adversaires contemporains de Vanini, qui ont interprété sa pensée avec tant d’habileté et de malice. Et l’opération a pleinement réussi : il a réussi, c’est-à-dire, à faire parler clairement un auteur qui, compte tenu de l’époque, n’avait pas pu s’exprimer clairement.

On pourrait objecter à cette méthode qu’à force d’élaguer, d’isoler, de couper et de mettre en valeur, elle ne peut nécessairement pas rendre toute la richesse et la complexité de l’œuvre de Vanini, qui reste l’œuvre d’un penseur raffiné et érudit et d’un écrivain de mérite. Mais c’est Carparelli lui-même qui prévient cette objection lorsqu’il déclare que le but de son travail est la vulgarisation. En effet, celui qui souhaite approfondir la pensée de Vanini, l’étudier en profondeur ou en faire l’objet d’une recherche scientifique spécifique, dispose d’autres outils valables, dont l’édition déjà mentionnée de Toutes ses œuvres, récemment éditée par Francesco Paolo Raimondi et Mario Carparelli lui-même. Et puis : il y a la vulgarisation et la popularisation. Et dans ce cas, il serait plus juste de parler d’un travail de haute vulgarisation, comparable à celui que Franco Volpi a réalisé avec ses livrets sur l’art d’avoir raison, d’être heureux, d’insulter, d’être respecté, de traiter les femmes, de se connaître soi-même et de vieillir, tirés des œuvres de Schopenhauer. Ce bréviaire vaninien aurait même pu s’intituler « L’art de mourir en philosophe ». Enfin, puisqu’il s’agit de haute vulgarisation, il faut dire que le choix par Carparelli des thèmes de la pensée de Vanini apparaît amplement illustratif des positions philosophiques du Salentin et que la manière d’isoler et de découper les textes est très efficace pour mettre en évidence les thèses.

C’est tout d’abord la thèse de l’énorme diffusion de l’athéisme dans le monde. Elle, écrit Vanini, « fleurit non seulement dans tous les coins de la terre, non seulement elle a le dessus dans les rues étroites du Japon, de la Chine, de l’Inde et des Tartares, mais de cette obscurité elle a surgi même dans la lumière du monde européen » ; elle prend racine non seulement chez les réformés, mais aussi chez les catholiques. La plupart d’entre eux ne se déclarent croyants qu’en paroles, mais adhèrent en fait à la thèse machiavélique, selon laquelle la religion est avant tout un instrumentum regni très efficace : un instrument, en fait, dont ils sont prêts à tirer parti.

C’est la thèse dite évergétiste ou imposture des religions, qui est exprimée en lettres claires dans un autre des passages isolés de Carparelli, où Vanini affirme que les religions ne sont que « fictions et illusions ». Ceux-ci […] ont été conçus par les princes pour enseigner à leurs sujets et ont ensuite été confirmés par les prêtres sacrificiels, toujours à la recherche d’honneurs et d’or, non pas avec des miracles, mais avec des écritures sacrées, dont le texte original est introuvable. Les miracles eux-mêmes, en tout cas, affirme Vanini, ne sont que des « impostures des prêtres ». laissant entendre qu’ils ne prouvent rien. Pourtant, les personnes crédules et ignorantes les considèrent comme vraies et les interprètent comme des manifestations du surnaturel : « ainsi la population grossière est forcée à l’obéissance par la crainte du Nume suprême qui voit tout et compense chaque action par des punitions et des récompenses éternelles ».

Mais pour Vanini, l’existence de Dieu, qui ne peut être attestée ni par des miracles ni par l’écriture, ne peut pas non plus être prouvée par la philosophie. Pas par la preuve ontologique, pas par la preuve a contingentia mundi, pas par l’argument ex motu, toutes les méthodes traditionnelles dont Vanini affirme qu’elles ne sont pas concluantes, et pas même par la preuve  » divine-magique ou cabalistique « , une preuve toute nouvelle, qui  » n’a jamais été faite avant Jules César « . Il s’agit d’une sorte d’épreuve décisive, que Vanini a incluse dans l’Amphitheatrum et que Carparelli reprend très opportunément dans son choix de textes. Et c’est un test qui, comme l’a observé Giovanni Gentile à l’époque, ne se résout qu’en un amer canular. Il n’est pas non plus difficile de discerner dans la définition de l’essence de Dieu contenue dans l' »Amphitheatrum » et rapportée ponctuellement par Carparelli, au-delà de l’incontestable maîtrise avec laquelle elle est conçue, la thèse selon laquelle le concept même de Dieu n’est qu’un inextricable enchevêtrement de contradictions : « Dieu est de lui-même le commencement et la fin : manquant des deux, n’ayant besoin ni de l’un ni de l’autre, il est le père et l’auteur des deux ». Il existe toujours mais est intemporel car en lui ne circulent ni le passé ni le futur. Il règne partout mais est sans lieu, il est immobile mais sans immobilité, infatigable sans mouvement. Tout en dehors de tout : il est en toutes choses, mais n’est pas inclus en elles ; il est en dehors d’elles, mais n’en est pas exclu. Il gouverne l’univers de l’intérieur, de l’extérieur il l’a créé. Bon, bien que manquant de qualité ; grand, bien que manquant de quantité. Totalité sans parties ; immuable, elle produit un changement dans les autres choses. Sa volonté est le pouvoir et la volonté lui est nécessaire. Il est simple et rien n’est en lui puissance, mais tout en acte ; en effet, il est lui-même pur, premier, moyen et dernier acte. Enfin, Il est tout sur tout, hors de tout, en tout, au-delà de tout, avant tout et tout après tout.

La sélection de Mario Carparelli d’extraits des œuvres de Vanini se poursuit avec certains passages dans lesquels le philosophe salentais affronte et démolit, sur la base de son aristotélisme hétérodoxe, le dogme de l’immortalité de l’âme. Si la substance est une combinaison de matière et de forme, et si le corps est matière et l’âme est forme, alors l’âme ne peut subsister sans le corps, tout comme la forme ne peut subsister sans la matière. C’est pourquoi Vanini déclare : « Moi, chrétien de nom et catholique de nom, si je n’avais pas été instruit par l’Église, qui est un maître très sûr et infaillible de la vérité, je n’aurais guère pu croire à l’immortalité de l’âme. » Vanini, qui de ce point de vue peut être considéré comme un strict adepte du naturalisme de la Renaissance, ne pouvait pas non plus croire aux miracles et à l’ensemble des phénomènes communément considérés comme des manifestations du surnaturel, tels que les fantômes, les monstres, les apparitions des morts, les mauvais présages, les prophéties, les personnes possédées, les statues qui pleurent ou saignent, les guérisons miraculeuses, les tarentules, les résurrections des morts et les nécromanciens. A tout cela, il oppose ses interprétations rigoureusement naturalistes, bien que parfois pas entièrement scientifiques. Le récit du seul miracle auquel Vanini dit avoir assisté en personne est particulièrement savoureux : le miracle de Presicce, grâce auquel un aveugle a recouvré la vue, mais a été rendu boiteux afin de pouvoir continuer à mendier.

*

La sélection de textes de Vanini se poursuit avec une série de passages, principalement tirés du « De admirandis », qui traitent de la structure de l’univers : Ils montrent que Vanini croit que l’univers est éternel, et donc qu’il n’a pas été créé ex nihilo, qu’il critique la vieille distinction de la physique aristotélicienne entre les mondes sublunaire et superlunaire, que – faisant écho aux thèses coperniciennes – il considère que l’affirmation selon laquelle la terre est le centre de l’univers est digne de la  » populace des philosophes « , et qu’en biologie il rejette la thèse de la fixité et de l’immuabilité des espèces vivantes et semble donc même anticiper les thèses évolutionnistes. Il y a ensuite un groupe de textes, intitulé « Philosophie de l’amour sexuel », aux accents nettement libertins, parmi lesquels se distingue la recette du Viagra de Vanini. La première partie du livre se termine par une section intitulée « Pilules », dans laquelle les idées de Vanini sont rendues dans une formule aphoristique qui n’aurait rien à envier à La Rochefoucauld.

La deuxième partie du livre, intitulée « Rencontres étranges », donne deux exemples éloquents du stratagème protecteur employé par Vanini, consistant à attribuer à quelque athée, rencontré par hasard en Europe, les thèses qu’il veut affirmer. Ainsi, il fait dire à un athée d’Amsterdam que le diable est plus puissant que Dieu –  » Dieu veut que tous les hommes soient sauvés, et pourtant très peu le sont ; le diable veut que tous soient damnés, et en effet d’innombrables sont damnés  » – et le fait aller jusqu’à prophétiser à partir de là l’avènement imminent de l’Antéchrist. Deux entretiens posthumes de Vanini clôturent le volume. La première, réalisée à partir de textes de l’Amphithéâtre, s’intitule « La divine providence et le scandale du mal » et pourrait se résumer à la question, attribuée par Vanini à Protagoras d’Abdera : « Si Dieu n’existe pas, d’où vient le bien ? Si, par contre, il existe, d’où vient le mal ? »

La seconde, réalisée à partir de textes du « De admirandis », est intitulée « L’origine et la nature » de l’homme et montre comment Vanini critique le mythe humaniste de l’homme copula mundi.

Selon Vanini, en effet, « l’homme est rempli de si nombreuses et si grandes misères que si cela ne répugnait pas à la religion chrétienne […] j’oserais le dire : si les démons existent, ils, en transmigrant dans le corps des hommes, paient les peines de leur crime. »

Ainsi, par le choix des textes, Carparelli réussit à faire ressortir toute la force, l’audace et la charge novatrice de ce penseur italien de la fin de la Renaissance, longtemps considéré comme mineur par rapport à des Telesio, Bruno et Campanella, qui fait aujourd’hui l’objet d’une véritable redécouverte. Car, comme on l’a écrit, « la philosophie de Vanini est probablement l’expression la plus extrême du radicalisme de la deuxième décennie du XVIIe siècle » et « Vanini a la conscience toute moderne d’une philosophie nouvelle et d’un siècle qui ouvre des horizons imprévus à une humanité renouvelée et à une humanité à renouveler ».

Liens intéressants

Pour comprendre, les écrits de Vanini, lisez
Article en  italien  (en français avec Google translate) de Franco Tomasi, paru en avril 2019 dans la revue El Atheo
« Le corps de l’ennemi de Dieu et des hommes : le supplice de Jules-César Vanini, condamné au bucher pour blasphème et athéisme (1619), par Jean-Pierre Cavaillé en accès libre sur HAL
La triste fin de Lucilio Vanini  Exobiologie
Aspects du matérialisme de Giulio Cesare Vanini par Didier Foucault en accès libre sur HAL

Vanini en France: perspectives de recherche Marcella Leopizzi

Vanini Wikipedia

Livres

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Contributions de quatre savants pour une véritable reconnaissance des œuvres de Vanini

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