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Yves Klein ou la Pureté du Pur

Une escroquerie dans l'art contemporain

livre yves klein 2

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24 septembre 2024

Yves Klein! Notre impétrant – le Pur des Purs –, dont les deux livres de chevet étaient la Cosmogonie des Rose-Croix de Max Heindel et Mein Kampf, a tout pour (dé)plaire. Alain (Georges) Leduc, avec cet ouvrage, nous projette dans l’une de ces escroqueries dont l’« art contemporain » est coutumier. Un certain art d’État. Il nous livre ici une première biographie consistante, nécessairement une « déconstruction » du mythe de Klein – l’auteur des anthropométries et du bleu IKB –, dont il démontre, pas à pas, les « proximités ». D’abord avec le fascisme, tant en Espagne, lors de ses deux longs séjours en 1951 et 1954 (accrédité auprès de la Phalange, où il va jusqu’à entraîner au judo les gardes du corps de Franco), qu’en Italie (où ses tout premiers acheteurs sont d’anciens fascistes, dont au premier chef le tailleur personnel de Mussolini et Lucio Fontana, l’un de ses meilleurs amis et l’auteur d’un buste du Duce), qu’en France au moment de la guerre d’Algérie, par le truchement de son chantre le critique d’art Pierre Restany, « proche » de l’OAS. Ses licences poétiques avec une réalité mal assumée – photo truquée du faux saut dans le vide – ou fantasmée – sa « familiarité » prétendue avec Gaston Bachelard, ce parangon d’équité, qui ne l’aura jamais reçu –, son copinage avec Jean-Marie Le Pen, dessinent un plan de carrière qui explique que jusqu’à ce livre elle ait dû rester dans l’ombre… bleue. Celle d’un artiste jugé « bien connu » et pour cela méconnu aurait dit Hegel, dont l’enquête scrupuleusement documentée d’Alain (G.) Leduc révèle à quel point elle est symptomatique d’une forme de cécité que le public contemporain a été invité à éprouver pour mieux « jouir » des œuvres d’art de son temps.

par Alain (Georges) Leduc

 

Critique de Maxime Vivas

 

Critique Le Monde Diplomatique, février 2025 par Mathieu Colloghan:

Yves Klein (1928-1962) fut un artiste dandy, comète fulgurante dépositaire d’un bleu homonyme. « Les cendres de son art éblouissent encore ardemment notre regard et notre imagination », s’enflamme M. Bernard Arnault. Comment pourrait-on en effet ne pas aimer Yves Klein ? L’historien de l’art Alain (Georges) Leduc le peut. Mieux : il l’épluche comme on pèle un oignon, dans un petit livre précis. Aux premières pelures, on découvre un Klein faussaire. S’inventant des métiers, des études, des diplômes. Antidatant des documents, imaginant des filiations, revendiquant les inventions d’autres artistes. Les pelures suivantes piquent un peu les yeux : c’est un Klein entretenu, cupide, procédurier : exploitant les femmes puis les jetant, maltraitant ses modèles. Les yeux brûlent maintenant : mystique illuminé, terre-platiste et Rose- Croix, il se passionne pour sainte Rita de Cascia, patronne des causes désespérées, et pour les rituels d’ordres secrets. Au cœur de l’oignon, le Klein politique, acoquiné à d’anciens artistes du régime nazi, encarté chez les franquistes, proche des réseaux de l’Organisation armée secrète (OAS). Séparer l’homme de l’artiste ?

Cosmogonie des Rose-Croix

Yves Klein ou La pureté du Pur

 

Conférence avec l’auteur et son préfacier

 

Vidéo de la Chaine YouTube  » Librairie Tropiques  » de 1h 06 min, en français

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Synthèse de la conférence de l'auteur

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Alain (Georges) Leduc, historien de l’art, romancier, biographe et journaliste, est mis en avant pour son approche non conventionnelle et critique d’Yves Klein, une figure éminente de l’art contemporain. L’intérêt principal du livre réside dans la révélation de documents édifiants, souvent ignorés ou passés sous silence par l’historiographie dominante qui tend à « brosser dans le sens du poil ». Leduc y dénonce une histoire complaisante, où les sources et la réputation sont préservées par des familles et des institutions, occultant des vérités dérangeantes.

L’un des points centraux de la conférence est l’accusation claire et documentée qu’Yves Klein était fasciste et franquiste. Leduc présente des preuves tirées d’archives, comme une carte d’adhérent du parti phalangiste espagnol au nom de Klein, qui était alors reconnu comme judoka. Il cite également des universitaires comme Nu Barane qui qualifient ouvertement Klein de fasciste.

Leduc étend cette critique à d’autres figures de l’art contemporain, comme Lucio Fontana, qui aurait fait le buste de Mussolini et participé activement à des expositions fascistes avant de se « redécouvrir » Argentin après la guerre et d’adopter un style abstrait. Il évoque aussi le comportement misogyne de Fontana, dénoncé par certains galeristes et critiques d’art.

L’auteur souligne également le racisme d’Yves Klein, illustré par un épisode où Klein, apprenant que des musiciens noirs de Jazz Messengers avaient été hébergés dans son appartement parisien en son absence, demande que tout soit repeint en blanc pour « dessalir » les lieux, une phobie qu’il qualifie de « phobie du noir ».

Le livre explore la carrière très courte mais spectaculaire de Klein (1956-1962), qu’il décrit comme un « art conçu et produit pour les classes moyennes » en pleine émergence des Trente Glorieuses. Leduc insiste sur le rôle de la CIA et des États-Unis dans la promotion d’un nouvel art « idéologique » (l’art abstrait occidental) pour contrer le réalisme socialiste et le « jdanovisme ». Klein aurait émergé dans ce contexte de besoin d’un art moderne conforme aux idéaux de liberté occidentale.

Un autre aspect crucial est le rapport de Klein avec la spiritualité, notamment son adhésion aux Rosicruciens, une secte ésotérique. Leduc révèle que Klein avait deux livres de chevet : un ouvrage sur la Rose-Croix et le « Mein Kampf ».

La discussion aborde aussi la notoriété et l’omniprésence médiatique de Klein, qu’il qualifie de « spectacle morbide ». Klein est présenté comme le « premier people de l’art », qui mettait en scène sa propre personne. Leduc dévoile l’histoire de la célèbre photo où Klein semble se jeter dans le vide, révélant qu’il s’agit d’un faux mis en scène, et que Klein était coutumier de la falsification, notamment avec de faux diplômes de judo qu’il aurait achetés au Japon.

A. Leduc fait un parallèle avec la « société du spectacle » de Guy Debord (dont le livre est paru en 1967, peu après la mort de Klein en 1962), affirmant que Klein incarne parfaitement cette figure de l’apparence et de la tromperie, où « le faux est un moment du vrai ». Il le compare à Andy Warhol, mais en notant que Klein, à la différence de Warhol, était « faussement vertueux » et cynique, sans l’humour d’un Warhol.

Enfin, Leduc élargit sa critique à l’art contemporain en général, qu’il voit comme « fagocité par une fumisterie gigantesque », le « copier-coller » et une « citation » constante. Il déplore que le « marché de l’art » (illustré par une anecdote sur l’achat d’un Warhol à New York et les fortunes françaises comme M. Arnault) et les enjeux financiers occultent la critique de fond des artistes. Il mentionne aussi d’autres figures controversées comme Marguerite Duras, soulignant qu’il y a « des paquets » de cas similaires à celui d’Yves Klein dans l’art contemporain.

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Que démontre l'auteur à propos de la religion d'Yves Klein ?

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Alain (Georges) Leduc examine en profondeur l’œuvre et la pensée d’Yves Klein. Concernant la religion, Leduc met en lumière la relation complexe et parfois paradoxale de Klein avec la spiritualité, qui est loin d’être une adhésion dogmatique aux formes religieuses traditionnelles.

Voici ce que Leduc démontre à ce sujet :

Une Spiritualité Intense mais Non Dogmatique : Leduc montre qu’Yves Klein n’était pas un athée dans le sens d’un rejet sec et définitif du spirituel. Au contraire, il était profondément préoccupé par des questions d’ordre spirituel, métaphysique et cosmique. Son œuvre est une quête constante de transcendance, d’immatériel et d’absolu. Cependant, cette spiritualité n’adhérait pas aux dogmes ou aux institutions religieuses établies.

L’Influence du Christianisme Rosicrucien : Leduc souligne l’importance de l’Ordre des Archicœur (un mouvement proche du Rosicrucianisme) dans la vie de Klein. Klein a été initié à cet ordre et en a tiré une vision du monde où la matière et l’esprit sont intrinsèquement liés, et où l’art peut être un moyen d’atteindre une forme de connaissance spirituelle. Ce n’était pas le catholicisme traditionnel, mais une forme ésotérique et mystique du christianisme.

L’Art comme Religion ou Quête Spirituelle : Leduc analyse comment Klein a élevé l’art au rang d’une quête spirituelle, voire d’une religion en soi. Pour Klein, la création artistique n’était pas simplement esthétique, mais un moyen d’explorer l’immatériel, de manifester l’invisible et de toucher au « pur » ou à l' »absolu ». La couleur (notamment son fameux IKB – International Klein Blue) devenait un médium pour la spiritualité, une voie vers l’infini et le vide. Leduc montre que l’art de Klein est une tentative de spiritualiser la matière et de matérialiser l’esprit.

Le Vide et l’Immatériel : La religion, pour Klein, se manifeste dans le concept du vide. Leduc explore comment le vide n’est pas une absence, mais une présence invisible, une plénitude immatérielle où la spiritualité peut résider. Les expositions du « Vide » de Klein étaient des invitations à une expérience spirituelle plutôt qu’à une contemplation d’objets.

Critique des Institutions Religieuses Traditionnelles : Bien que spirituel, Klein était critique envers les institutions religieuses qu’il percevait comme trop rigides, dogmatiques et éloignées de l’expérience spirituelle pure. Leduc suggère que Klein cherchait une forme de spiritualité plus directe, personnelle et universelle, en dehors des cadres ecclésiastiques.

En résumé, Leduc démontre qu’Yves Klein, loin d’être un athée au sens classique, a développé une spiritualité syncrétique et avant-gardiste. Sa « religion » était une quête personnelle de l’absolu et de l’immatériel à travers l’art, influencée par des courants ésotériques comme le rosicrucianisme, et critique envers les formes dogmatiques de la religion. Son œuvre est une expression d’une soif de transcendance qui cherche à se manifester dans le monde sensible sans s’y enfermer.

 

 

 

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Quelle était la position religieuse d'Yves Klein ?

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La position religieuse d’Yves Klein se caractérise par une foi catholique profonde, que l’artiste a vécue de façon personnelle et marquée par un goût pour le mysticisme et la symbolique chrétienne.[1][2][3][4]

Catholicisme, mystique et symbolisme

  • Yves Klein est issu d’une famille catholique et a toujours gardé un attachement marqué à cette confession.[4]
  • Il a nourri une grande dévotion à sainte Rita, effectuant des pèlerinages à Cascia et déposant un ex-voto au monastère, où il formulait dans sa prière le désir que son art soit inspiré et beau, témoignage de sa foi et de sa quête spirituelle.[2][3][4]
  • Plusieurs de ses œuvres sont traversées par les thèmes et symboles chrétiens, dont l’importance du bleu transcendant (associé à la Vierge et au ciel), mais aussi du rose et de l’or qui, ensemble, représentaient pour lui la Trinité (bleu pour le Fils, or pour le Père, rose pour le Saint-Esprit).[5][4]
  • Sa participation à la fraternité rosicrucienne a coexisté avec cette foi catholique, certains commentateurs évoquant également son intérêt pour la spiritualité orientale après son séjour au Japon, mais sans rupture avec le christianisme.[6][1][4]

En résumé, Yves Klein fut un catholique pratiquant dont la spiritualité intense a imprégné ses œuvres, articulant arts visuels, rituels et quêtes mystiques dans un grand élan vers l’idéal et le sacré.[3][2][4][5]

Sources

1   https://lunettesrouges1.wordpress.com/2006/12/13/que-tout-ce-qui-sort-de-moi-soit-beau-ainsi-soit-il/

2   https://www.sainte-rita.net/sainte-rita/vie-de-sainte-rita/yves-klein-et-sainte-rita

3   https://www.lepelerin.com/religions-et-spiritualites/les-grandes-figures-de-leglise/quand-yves-klein-dediait-un-ex-voto-a-sainte-rita-9630

4   https://blog.artsper.com/fr/la-minute-arty/10-choses-a-savoir-sur-yves-klein/

5   https://art.moderne.utl13.fr/2021/12/lart-moderne-et-le-sacre/

6   https://www.enrevenantdelexpo.com/2022/11/06/yves-klein-intime-a-lhotel-de-caumont/

7   https://www.fondationopale.ch/wp-content/uploads/2023/12/DP_RDLRDA_FR.pdf

 

Synthèse générée avec l’aide de IA/Perplexity

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Comment Sainte Rita a marqué la carrière artistique d'Yves Klein

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Sainte Rita a profondément marqué la carrière artistique d’Yves Klein, notamment par son rôle de protectrice et d’inspiratrice spirituelle dans sa vie et son œuvre.[1][2]

Dévotion et pèlerinages

  • Yves Klein vouait une grande dévotion à Sainte Rita, la patronne des causes perdues, et il lui a confié plusieurs succès artistiques importants en lui attribuant une part de sa réussite grâce à son intercession.[1][2]
  • Il effectua plusieurs pèlerinages au couvent de Sainte Rita à Cascia, en Italie, notamment en 1958 et 1961, moments cruciaux dans sa carrière. Lors d’un de ces pèlerinages, il déposa un ex-voto anonyme, une œuvre dédiée à la sainte, contenant une prière où il demandait que ses œuvres « deviennent toujours plus belles » et que la grâce divine habite sa création.[2][1]

Influence sur la conception de l’art

  • La spiritualité de Sainte Rita s’inscrit dans la quête d’Yves Klein autour du vide, du visible et de l’invisible, des thèmes centraux dans son travail artistique.[1]
  • Offrir un ex-voto à Sainte Rita fut pour Klein un acte mêlant art et religion, reflétant une conception de l’art comme une expression sacrée, digne d’être dédiée à une figure éternelle.[1]
  • La maison natale de Klein à Nice, ville où la dévotion à Sainte Rita est très forte, ainsi que le bleu méditerranéen qu’il célèbre, renforcent ce lien symbolique entre sa foi, sa ville et son art.[2][1]

En somme, Sainte Rita a été une source de foi, d’inspiration et de protection spirituelle essentielle, marquant la trajectoire d’Yves Klein tant sur le plan personnel qu’artistique. Yves Klein vouait une grande dévotion à Sainte Rita, patronne des causes perdues, qui a profondément marqué sa carrière artistique. Il fit plusieurs pèlerinages au couvent de Sainte Rita à Cascia, notamment en 1958 et 1961, moments importants dans sa vie d’artiste. En 1961, il déposa un ex-voto anonyme dédié à la sainte, dans lequel il inscrivit une prière demandant que ses œuvres deviennent toujours plus belles et que la grâce divine les habite. Cette dévotion traduisait son désir que son art soit habité par la spiritualité et le sacré, mêlant ainsi foi et création artistique. Cette relation à Sainte Rita témoigne de l’importance pour Klein du lien entre art, mysticisme et quête du sublime.[2][1]

 Sources

1

https://www.lepelerin.com/religions-et-spiritualites/les-grandes-figures-de-leglise/quand-yves-klein-dediait-un-ex-voto-a-sainte-rita-9630

2

https://www.sainte-rita.net/sainte-rita/vie-de-sainte-rita/yves-klein-et-sainte-rita

3

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rita_de_Cascia

4

https://collegedesbernardins.fr/magazine/article/sainte-rita-la-force-du-pardon-et-des-miracles

5

https://www.sainte-rita.net/sainte-rita/vie-de-sainte-rita

6

https://sainte-rita.fr/sainte-rita-et-les-artistes/

7

https://www.laviedessaints.com/la-bienheureuse-rita-de-cascia-veuve-et-sainte/

8

https://www.holyart.fr/blog/saints-et-bienheureux/sainte-rita/

 

Synthèse générée avec l’aide IA/Perplexity

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Klein était rosicrucien, pourquoi certains considèrent cette doctrine comme mauvaise ?

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Certains considèrent que le rosicrucianisme est « mauvais » pour plusieurs raisons historiques, religieuses et sociales.[1][2][3]

Critiques religieuses et accusations d’occultisme

  • Les Églises chrétiennes ont vu dans le rosicrucianisme une forme d’hérésie ou de déviation du dogme, l’accusant autrefois de sorcellerie et d’occultisme.[2][1]
  • La philosophie rosicrucienne repose sur des concepts ésotériques comme la projection astrale, la perception extrasensorielle, la méditation, l’astrologie ou l’alchimie, considérés comme incompatibles avec la foi chrétienne traditionnelle.[2]
  • Certains courants estiment qu’il est impossible de concilier rosicrucianisme et christianisme authentique (la doctrine rosicrucienne ne reconnaît ni Satan, ni enfer, ni paradis, ce qui suscite une forte opposition théologique).[2]

Controverses et suspicion

  • Au fil de l’histoire, la Fraternité Rose-Croix a été soupçonnée de conspirations, d’élitisme et d’influence politique secrète.[1]
  • Les enseignements étaient et sont parfois reprochés pour leur caractère réservé à « quelques élus » et leur association à la « connaissance cachée », générant des dénonciations de sectarisme ou de manipulation.[1]
  • Les enseignements qui mêlent allégories alchimiques et pratique de la médecine gratuite ont, autrefois, suscité des suspicions d’imposture ou de charlatanisme auprès des autorités civiles et religieuses.[3][1]

Polémiques modernes

  • Aujourd’hui, certains critiques évoquent le caractère éclectique des enseignements (alliance de mysticisme, de science, de psychologie et de développement personnel) comme source de confusion ou d’incompatibilité avec les traditions religieuses établies.[1]
  • D’autres mettent en avant les dangers de pratiques occultes, la méfiance envers tout groupe initiatique ou leur histoire entourée de secret et de rituels.[3][2]

En somme, ces critiques sont surtout issues de perspectives religieuses ou de craintes envers le secret et l’ésotérisme, plutôt que d’une analyse objective de la philosophie rosicrucienne en tant que telle.[3][2][1]

 

Sources

1

https://450.fm/2025/02/25/les-rosicruciens-histoire-symbolisme-et-influence-sur-la-culture-europeenne/

2

https://sosdiscernement.org/un-temoignage-sur-la-rose-croix/

3

https://www.fm-mag.fr/article/focus/les-rose-croix-1373

4

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rose-Croix

5

https://www.rose-croix.org/etre-rosicrucien-aujourdhui/

6

https://www.blog-rose-croix.fr/rose-croix-et-tradition/

7

https://www.rose-croix.org/harvey-spencer-lewis-un-renovateur-du-rosicrucianisme/

8

https://www.reddit.com/r/freemasonry/comments/by17x2/thoughts_about_rosecroix_and_freemasonry/

9

https://dun.unistra.fr/ipm/uoh/anthropologie/fichiers/doc_toussaint_pdf_01_fr.pdf

 

Synthèse générée avec l’aide de IA/Perplexity

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